Wednesday, October 22, 2008

‘Hero’ Meets Challenges for Dump’s Children

Voting continues until Thursday November 20, 2008 at 6 a.m. ET.

Phymean Nuon, founder of the People Improvement Organization

By Nuch Sarita, VOA Khmer
Washington
21 October 2008




Around 1,500 families live around Phnom Penh’s largest dump site, Stung Meanchey, including many children who should have an education, no matter how poor, according to the founder of an organization who helps hundreds of children at the site.

“Some of them have no homes,” said Phymean Nuon, whose work creating the People Improvement Organization has been honored by the television news network CNN and who was a guest on “Hello VOA” Monday. “They put up tents, and every day they collect trash, such as cans and plastic.”

Even though they are street children and have no money, they should know how to read and write,” she said. “Sometimes I cry because I see these children and these women sleeping at the trash dump. Each time I come here I see them eating spoiled rice. The place is like hell, and they should not wait for the next life.”

The People Improvement Organization offers free schooling to children at the site, and Phymean Nuon has been chosen to compete with 10 other CNN honorees for “Hero of the Year.” She was already featured as one of its “Heroes,” and if she is selected, she will win $100,000, which she said would go toward further helping the children.

The children work at the dump site between 10 and 12 hours a day, making less than a dollar, and sometimes making no money at all, Phymean Nuon said. They do not receive an education and live in hazardous circumstances; some of them have been killed by garbage trucks, she said.

Phymean Nuon started her organization four years ago, recruiting children to come to the center. The organization has classes from grades one through nine, and works under Ministry of Education guidelines that allow students to continue education in government schools.

Classes are tailored to the schedules of the children, so they can continue to scavenge and earn money, she said.

“Some children at my school collect trash until late at night and fall asleep in the classroom,” she said.

Phymean Nuon tells the children not to give up hope.

Even if we are poor and struggling and don’t have any money, we can go to school,” she said.

“Some children are injured from broken glass, needles and razors,” she said. “If they don’t have an education, they will collect trash until the day they die.”

3 comments:

  1. Anonymous5:10 AM

    Carburant : les prix à la pompe au Cambodge tardent à suivre la baisse des cours mondiaux
    Ka-set est un site d'information indépendant mis à jour quotidiennement en français et en khmer sur le Cambodge et les Cambodgiens d'ailleurs.


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    Temple frontalier de Preah Vihear : la Thaïlande perd la guerre médiatique face au Cambodge
    Par Arnaud Dubus (correspondant régional du quotidien Libération), frontière khméro-thaïlandaise

    21-10-2008

    Prasat Preah Vihear (Cambodge), le 20 juillet 2008. Vandy Rattana, photojournaliste, dans la tente de presse installée sur le site de Preah Vihear par le Conseil des ministres cambodgien
    © John Vink / Magnum
    Surpris, le sergent-chef a oublié de fermer sa braguette. Revenant des spartiates toilettes qui sont le lot des rangers thaïlandais, ces soldats volontaires que Bangkok envoie en première ligne sur les frontières les plus sensibles du pays, il prend un air féroce en voyant un groupe de journalistes français et thaïlandais émerger de la forêt et entrer dans le camp militaire. Le sergent-chef est un "tigre noir" (surnom des Rangers) et commande la trentaine d'hommes basés dans ce camp qui jouxte la zone contestée aux abords du temple khmer de Preah Vihear, sur la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande. Il se doit donc de montrer les dents : "Vous n'avez pas le droit d'entrer. Qui vous a amené ici ? Il est interdit de prendre des photos. Partez tout de suite !", lance-t-il. Cette fois-ci, les ordres ne marchent pas. Les journalistes s'éparpillent en mitraillant (de leur appareil photo) les rangers armés de lance grenades et de fusils automatiques, qui s'apprêtaient à partir en patrouille.

    Un fiasco médiatique côté thaïlandais
    Les militaires thaïlandais sont tendus, partagés entre l'envie de gagner les bonnes grâces de la presse locale et internationale dans la querelle qui les oppose aux autorités cambodgiennes et celle d'imposer un black out total sur l'information concernant cette sensible question de querelle territoriale. Début juillet, l'Unesco a accepté, à la demande de Phnom Penh, d'inscrire le temple hindouiste de Preah Vihear sur la liste du Patrimoine mondial. Les tensions entre Bangkok et Phnom Penh sur ce "temple-montagne" terminé sous le règne du roi khmer Suryavaraman II au début du XIIe siècle remontent au début du XXe siècle, à l'époque où le Cambodge était un protectorat français. Elles ont ressurgi depuis l'inscription du site sur la liste de l'Unesco, et deux sérieux accrochages armés ont eu lieu en octobre.

    Mais l'opération de contrôle médiatique par l'armée thaïlandaise tourne le plus souvent au fiasco. Il y a quelque chose de désarmant dans la maladroite franchise des militaires thaïlandais quant à leur stratégie médiatique. "Quand je regarde la télé, je me marre, tellement il y a de choses inexactes qui sont rapportées par les journalistes", dit le colonel Taweesak Boonrakchart, porte-parole régional de l'armée thaïlandaise lors d'un briefing d'une vingtaine de journaliste au quartier général du 24ème régiment d'infanterie, dans la ville frontalière de Kantharalak. "Nous sommes tous Thaïlandais. Il faut que vous fassiez attention à ce que vous écrivez. J'admets que nous avons mal géré les journalistes dans le passé. Mais à partir de maintenant, cela va aller mieux. Bientôt, les journalistes pourront venir prendre le café ici", poursuit l'officier.

    Malgré cet effort de relations publiques, les journalistes qui veulent couvrir le conflit frontalier côté thaïlandais n'ont pas grand-chose à se mettre sous la dent. Une photo prise d'un hélicoptère sur la pelouse du quartier général des "Tigres noirs" doit être immédiatement détruite sur l'ordre d'un officier furieux.

    Des journalistes mieux lotis côté cambodgien
    Les reporters qui couvrent les développements côté cambodgien sont mieux lotis. L'armée cambodgienne veille sur leur confort. Il y a un mois, une coupole satellite a été installée près de la conservation de Preah Vihear, jouxtant le temple, afin que les journalistes bénéficient d'une liaison internet convenable pour envoyer articles et photos. Des tentes ont été érigées dans le temple pour ceux qui choisissent de bivouaquer sur place. "Tu peux aller partout, mais c'est un peu le chaos. Il faut faire le tri, c'est à la khmer", rapporte le photographe John Vink, lequel s'est rendu plusieurs jours sur le site du temple le mois dernier. "Je me suis baladé dans les petits sentiers, personne ne m'a rien dit". Pendant l'accrochage militaire du 15 octobre, Chor Sokunthea, un photographe de Reuters, se trouvait aux côtés des militaires cambodgiens dans une tranchée. Tracey Shelton, journaliste au quotidien Phnom Penh Post, décrit dans son article les soldats thaïlandais venant récupérer leur armes sur le terrain après l'accrochage. "Les Cambodgiens sont sûrs de leur bon droit. Ils jouent la carte 'on n'a rien à cacher'", estime John Vink.

    Les journalistes thaïlandais ou les reporters étrangers basés en Thaïlande ne souffrent pas, eux, d'un trop plein d'informations. Moyennant 200 bahts (quatre euros), un paysan nous guide dans un champ boueux de Kantharalak pour nous indiquer au loin une vague forme cachée par le ciel bas sur la crête de la chaîne montagneuse des Dangrek. "Le temple est là-bas, à dix kilomètres. Mais il n'est pas possible d'y aller, la situation est encore chaotique", dit Thanomsai, un villageois de Kantharalak. La vidéo tournée par la section de Rangers thaïlandais pendant leur combat de quinze minutes contre les militaires cambodgiens n'est pas distribuée à la presse. "J'aimerais bien pouvoir la donner aux journalistes mais mes supérieurs n'accepteront jamais. Et puis, ce ne serait pas bien pour l'image de la Nation", explique un Rangers de la section, dont sept membres ont été blessés par balles et par grenades lors de l'accrochage du 15 octobre.

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  2. Anonymous9:16 AM

    It is great that our coutry have a heroine like Ms. Phymean Noun. If there are a lots like her, our coutry will be very peaceful. May god bless her,

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  3. Anonymous1:50 AM

    I vote for You Miss :Noun!!!

    I wish you all my best!!!
    Good Luck to you!!

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