Friday, November 23, 2007

Opposition party asks for an end to a plan to replace commune chief

22 November 2007
By Pov Ponlok
Radio Free Asia

Translated from Khmer by Socheata

On Wednesday, the Sam Rainsy Party (SRP) issued a declaration calling on the Ministry of Interior (MoI) to stop the plan to replace Om Sun Yin, the SRP Pate commune chief, located in O’Yadaw commune, Ratanakiri province. The SRP insists that the MoI intervenes with the provincial tribunal to put to an end the charge leveled against Om Sun Yin, and his arrest.

In its declaration, the SRP indicated that since his victory at the 2nd mandate commune election, Om Sun Yin could not fulfill his duty as commune chief because the authority charged him and wanted to arrest him for political reasons.

The SRP declaration did not indicate the political reason for which the authority wants to arrest Om Sun Yin, however he was arrested since 04 October 2007.

12 comments:

Anonymous said...

This man from SRP has been elected into his present position by a local election. Noone can remove him even SRP. He has his mandate to run until next local election. If he die in any circumstance, then a by election to replace him. Even the King cannot also remove him his duty. Give a break. Areak Prey

Anonymous said...

Yeah, but if he commit a crime, he will have to face charges, and if convicted, he will lose position according to our law.

Anonymous said...

If he committed a crime say; robbery? Killing ? stealing etc... He needs to be sent to court. If he really committed a crimes found by a court, then a BY ELECTION should be followed. But he cannot be charged as against government for his stand against the Government. The Government can go to hell and not his business. He can oppose all government policies without worry. Areak Prey

Anonymous said...

Yeah, of course, that is why they want to arrest him so that he can face the charges. And running will not make him look good before our judges.

I don't think it is political as claimed by the SRP. Usually, for political dispute, they just summon you to court under civil law. Therefore, it is a criminal case.

Anonymous said...

Happy Bonn Om Tuok (Water Festival)!

Gen. Ke Kimyan: After the holiday, the new transitional government and the transitional prime minister will be installed.

Anonymous said...

Arresting him based on his opposing to government policy is not lawful because he was elected by his people not appointed by the government so he has rights to say whatever against the government policy. But if he had committed a crime, he must face charge like every citizen, and the court must allow him to seek lawyer to represent him. And the prosecutor must prove he is guilty or not based on reliable witnesses and evidences. Otherwise. he cannot be removed from his position until he will be found guilty.

Anonymous said...

This CPP-Funcinpec led gov't has become more and more courageous with its open policy of political harrashment and persecution. Maybe it is time to reflect on it whether Cambodians should go to the poll at all. Boycott the damn thing if we have to. Steps must be taken to continue legitimating this regime of Viet-subservant gansters like.

Anonymous said...

I meant to say, " not to continue legitimizing this regime of Viet-subservant gansters like."

Khmer Young said...

Philosophy from Bon Oum Touk,

As I can see, the Bon Oum Touk or boat racing ceremony shed us two concepts of philosophy:

1. It is good for Cambodians to preserve this long traditional ceremony of Cambodia. It symbolizes the strength of Cambodian navy, pay gratitude to the water, to farewell the starting receding of water, and to entertain Cambodian peasants from hard work of crops cultivating.

2. But it is surely if you watch TV or listen to Radios, or read newspapers; Cambodian's bon oum touk is the occasion for those Cambodian high-rank officials advertise their names, power and position through sponsoring with many projects: starting from sponsoring TVK, to boat crew, to rice, to cloths, to many and others.

So it is remarkably that invaluable Khmer traditional bon oum touk has become the central place for those corrupted government officials to make money laundering and advertise their cronism/favoritism.

If younger Cambodian generation wants to see brighter future of Cambodia, they must understand that this charity culture from those higher rank officials are only the encouraging of perpetuating corruption and Cambodia as a state has become weaker and weaker through this behavior.

Many those high-rank officials are happy to advertise themselves through the opportunity of bon oum touk and presence of the King.

Their legitimacy culture is very low and disgusting....this low profile political legitimacy culture comes from their evil backgrounds and less education.

KY

Anonymous said...

Internet bouscule
l’élection américaine
Valérie Samson Figaro
21/11/2007 | Mise à jour : 08:42 |

Barack Obama mène campagne sur le web avec son site www.barackobama.com.
Avant les primaires, la campagne s’intensifie sur leWeb : les vidéos de soutien fleurissent sur les sites officiels des candidats alors que les absents de la Toile ont laissé leur place aux sites parodiques.
Internet peut-il renverser le cours de l’élection présidentielle, à l’instar du premier débat télévisé qui, en 1960, avait vu un John Kennedy, télégénique en diable, coiffer sur le poteau Richard Nixon, donné archifavori par les sondages? En 2007, Barack Obama a fait une entrée fracassante dans la campagne électorale américaine. Il y a un an encore, le nom du jeune sénateur noir de l’Illinois était quasi inconnu du grand public. Aujourd’hui, il dispute à Hillary Clinton l’investiture démocrate. Pour François Durpaire etOlivier Richomme, auteurs d’une biographie consacrée à l’étoile montante du Parti démocrate, «a présence d’Obama sur Internet est une des sources principales de son succès». Grâce à une campagne sur le Web très poussée, il a réussi àmobiliser une armée de plusieurs dizaines de milliers de volontaires à travers le pays pour lever des fonds. Résultat, un trésor de guerre de plus de 80 millions de dollars, qui le place en deuxième position derrière Hillary Clinton.

L’ascension hors norme de Barack Obama confirme, en l’amplifiant, ce que l’on savait depuis 2004 : en renforçant le poids des petits donateurs, Internet permet désormais à un novice en politique d’émerger comme «présidentiable» en contournant les réseaux traditionnels d’influence, et lui donne une visibilité surlesmédias traditionnels.
Dîner aux chandelles
Faire campagne sur la Toile est devenu un passage obligé. Les candidats à la succession de George W. Bush se confient dans des blogs (journaux en ligne), sur des sites de socialisation (Facebook,MySpace), répondent en direct aux questions des internautes sur leur site officiel ou lors de débats au ton décalé, organisés par YouTube ou Google. On les retrouve également dans l’univers virtuel de Second Life.
La Toile bouscule les usages. Barack Obama, Hillary Clinton et John Edwards ont lancé leur campagne avec un message sur leur siteWeb. Leurs états-majors rivalisent d’imagination pour donner de leur champion une image proche de l’électeur; des petits donateurs sont tirés au sort pour avoir le privilège de dîner aux chandelles avec Barack Obama devant l’objectif des caméras. Avec eux, le candidat évoque le retrait d’Irak ou les difficultés à concilier paternité et campagne électorale. Le résultat est un petit film que l’on peut visionner sur son site officiel. Des supporteurs d’Hillary Clinton sont invités à assister en compagnie de son mari, Bill, au dernier débat télévisé des démocrates. Assis devant le petit écran dans le canapé confortable d’un intérieur bourgeois, ils croquent des carottes crues avec l’ancien président des États-Unis et disent tout le bien qu’il faut penser de leur candidate.

Loin des sites Internet de 2000 et 2004, qui se réduisaient le plus souvent à une galerie de portraits qu’accompagnait une transcription de discours, les campagnes en ligne pour l’élection présidentielle de 2008 se veulent interactives et innovantes. Les internautes peuvent désormais créer leur profil, interagir avec d’autres partisans, ou écrire leur blog.

Les plus en pointe proposent des liens vers des vidéos amateurs postées sur YouTube ou une biographie du candidat sur Wikipédia, l’encyclopédie en ligne. Depuis la dernière présidentielle, le cyberespace a connu un développement prodigieux, au point de devenir la principale source d’information pour de nombreux Américains.

Selon une étude du centre de recherche Pew, 43 % d’entre eux se tournent aujourd’hui en priorité vers l’Internet pour les nouvelles, tandis que 17 % se fient d’abord à leur journal. Loin de constituer une audience passive, les internautes s’organisent, préfigurant l’exercice d’une citoyenneté plus active, s’exerçant en réseau.


Constitution de lobbies

Dans la droite ligne de moveon.org, qui vise à fédérer les déçus de la politique en les incitant, par exemple, à s’inscrire sur les listes électorales via des opérations de porte-à-porte, un site comme change.org innove en s’attaquant au nerf de la guerre, l’argent. Il s’agit d’offrir la possibilité aux personnes qui défendent les mêmes intérêts (contre la guerre en Irak ou pour la détention d’armes à feu, par exemple) de se constituer en lobby et de lever des fonds, qui seront reversés au candidat s’engageant à défendre leur cause. Quant à son adversaire, il se voit adresser une note lui expliquant pourquoi il ne verra pas la couleur de leur argent.

Toute la difficulté pour les candidats consistera à convertir leurs soutiens électroniques en votes le jour J. À cet égard, si la Toile a démontré sa capacité à mobiliser les activistes, son efficacité, quand il s’agit de traquer l’électeur indécis ou abstentionniste, semble limitée. En outre, elle s’adresse à un public jeune, adepte de nouvelles technologies, éduqué… et donc restreint. Julie Germany, de l’IPDI, un centre de recherche qui examine l’influence d’Internet sur la vie politique,met les candidats en garde : «une bonne campagne en 2008 ne devra pas seulement reposer sur la technologie. Elle devra s’appuyer sur l’ensemble des médias, ne pas négliger les réunions traditionnelles afin de toucher les gens». Internet ne changera peut-être pas le résultat de l’élection présidentielle.Mais il révolutionne déjà la manière de faire campagne.

Anonymous said...

Je trouve que Mr Sam Rainsy ne s'occupe pas assez de son site d'internet, alors que c'est l'un des outils les plus efficaces de la communication du monde moderne; pour attirer le soutien politique et surtout financier (meme tres peu )des Khmers vivant a l'etranger.
A mon opinion, il devra jeter un coup d'oeil sur le site du candidat Barack Obama et voir comment mène campagne sur le web avec son site www.barackobama.com

Anonymous said...

Folks, we can't have people like this idiot (Om Sun Yin) leading the country. Hiding and resisting arrest is not a good role model for the Khmer people. If he's innocent, he should face the charge and done with it. It is stupid for him to think that he can get away with a crime by using his political party. It's just aint goona work.