Tourism boom at Cambodia's 'Killing Fields': company official
PHNOM PENH (AFP) — The number of foreigners visiting Cambodia's "Killing Fields" has more than doubled from last year due to growing public interest in the Khmer Rouge tribunal, an official said Friday.
Up to 500 foreign tourists are visiting the grim execution sites on an average day, compared with 200-300 per day in 2006, said Ros Sophearavy, deputy director of a private company running the fields.
"The increase could be related to the arrest of Khmer Rouge leaders," she told AFP.
"People hear about the Khmer Rouge tribunal and that must have prompted tourists to visit the Killing Fields," said Ros Sophearavy.
Visitors will see a 17-story stupa, or tower, that houses some 9,000 skulls of people killed during the the Khmer Rouge's brutal 1975-79 rule in Choeung Ek, some 15 kilometres (nine miles) southwest of Phnom Penh.
Many people were executed in Choeung Ek and buried in pits by the ultra-communist regime.
Up to two million people were executed, or died of starvation and overwork as the Khmer Rouge emptied Cambodia's cities, exiling millions to vast collective farms in a bid to forge an agrarian utopia.
Khmer Rouge leader Pol Pot died in 1998, one year after Cambodia first sought the United Nation's help in setting up a genocide tribunal to try regime leaders.
Established in July 2006 after nearly a decade of negotiations between Cambodia and the UN, the joint Cambodian-UN tribunal seeks to prosecute crimes committed by senior Khmer Rouge leaders.
So far five top Khmer Rouge leaders, including the regime's former foreign minister Ieng Sary, have been detained to face charges for crimes committed by the regime.
Up to 500 foreign tourists are visiting the grim execution sites on an average day, compared with 200-300 per day in 2006, said Ros Sophearavy, deputy director of a private company running the fields.
"The increase could be related to the arrest of Khmer Rouge leaders," she told AFP.
"People hear about the Khmer Rouge tribunal and that must have prompted tourists to visit the Killing Fields," said Ros Sophearavy.
Visitors will see a 17-story stupa, or tower, that houses some 9,000 skulls of people killed during the the Khmer Rouge's brutal 1975-79 rule in Choeung Ek, some 15 kilometres (nine miles) southwest of Phnom Penh.
Many people were executed in Choeung Ek and buried in pits by the ultra-communist regime.
Up to two million people were executed, or died of starvation and overwork as the Khmer Rouge emptied Cambodia's cities, exiling millions to vast collective farms in a bid to forge an agrarian utopia.
Khmer Rouge leader Pol Pot died in 1998, one year after Cambodia first sought the United Nation's help in setting up a genocide tribunal to try regime leaders.
Established in July 2006 after nearly a decade of negotiations between Cambodia and the UN, the joint Cambodian-UN tribunal seeks to prosecute crimes committed by senior Khmer Rouge leaders.
So far five top Khmer Rouge leaders, including the regime's former foreign minister Ieng Sary, have been detained to face charges for crimes committed by the regime.
4 comments:
Manifestation prévue à Phnom Penh pour soutenir les Cambodgiens migrants
14-12-2007
On estime à plus de 200 000, le nombre de Cambodgiens qui partent chaque année travailler à l'étranger. Souvent dans des conditions très difficiles. Une marche de soutien est organisée dimanche 16 décembre à Phnom Penh à l'occasion de la Journée internationale des migrants.
Un cortège pour protester contre les violences et l’exploitation subies par les ouvriers émigrés cambodgiens sera organisé dimanche 16 décembre. La participation d'environ mille personnes est attendue. Le défilé se rendra de la pagode Langka aux Jardins Hun Sen. Vendredi 14 décembre, lors d'une conférence de presse, Ya Navudh, directeur de l’ONG CARAM au Cambodge (Coordination of Action Research on AIDs and Mobility), chargée de l'organisation de la manifestation, avec la coopération d'autres ONG, explique que des abus ont été récemment contastés à l'encontre de migrants cambodgiens. Le slogan « stoppez les violences contre les migrants cambodgiens », a d'ailleurs été retenu pour la journée internationale de cette année.
« Les violences physiques et mentales sont souvent le fait d'entrepreneurs de pays d'accueil. Elles ont été constatées en Thaïlande et en Malaisie. Là bas, la majorité des ouvriers n’ont pas la liberté de déplacement, ne peuvent contacter leur famille. Ils ont trop peu de temps pour se reposer, pas assez de nourriture, et parfois leur passeport est confisqué par l'employeur. Déjà au départ du Cambodge, beaucoup contractent des dettes avec les agents intermédiaires en raison de frais de dossiers, de transports indûment facturés. Ils ne connaissent même pas les termes exacts de leur contrat », détaille-t-il.
Les ouvriers khmers partent majoritairement travailler en Thaïlande, en Corée du sud, et en Malaisie. On estime à 200 000 le nombre de personnes travaillant en Thaïlande, de 8000 en Malaisie. « Mais tout de même on remarque une amélioration de leur condition. Le ministère du Travail est en train d’exécuter des contrats standards. Les ouvriers sont mieux informés de leurs futures conditions de travail. Le gouvernement a réduit le nombre des agents et compagnies d’intermédiaires qui exploitent les ouvriers, il en reste une dizaine aujourd’hui », ajoute Ya Navudh.
Chup Narath, directeur adjoint du département de l’emploi au ministère du Travail, précise pour sa part que ces problèmes concernent plutôt les migrants illégaux. « Si les entrepreneurs de ces pays ne les acceptaient pas, il n’y aurait pas tous ces dysfonctionements», estime-t-il.
Le directeur de Caram veut profiter de cette campagne pour lancer un appel au gouvernement cambodgien et aux pays receveurs, et surtout aux entrepreneurs concernés pour qu'ils contribuent à faire cesser les violences sur les migrants, obligés de quitter leur pays à cause d'un marché du travail encore trop peu développé.
Ung Chansophea
Are those Khmer victim skulls or the 5,000 Viet skulls?
KHMERS ROUGES=MAO+HO
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LES AUTRES HOMMES VIVENT POUR MANGER,TANDIS QUE KHMERS MANGENT POUR VIVRE ET DIRE LA VéRITé.
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PARIS, 21 novembre (Reuters) - Jacques Chirac était entendu mercredi matin pour la deuxième fois depuis son départ de l'Elysée par un juge, cette fois dans l'affaire du recrutement des chargés de missions de la ville de Paris, qu'il dit avoir "souhaité ou autorisé", dans une tribune publiée par Le Monde daté de jeudi.
L'ancien chef de l'Etat est arrivé à 08H30 dans le cabinet de la juge Xavière Simeoni, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information du site bakchich.info et du Monde. Le statut de l'audition n'a pas été précisé par le parquet de Paris.
M. Chirac est arrivé au pôle financier du palais de justice accompagné de deux avocats, dont Me Jean Veil, selon une source proche du dossier. Procéduralement, la présence d'avocats à l'audition signifie qu'il n'est pas entendu comme simple témoin, mais sous le statut de témoin assisté ou de mis en examen.
Depuis qu'il a quitté l'Elysée et est redevenu un justiciable ordinaire, c'est la deuxième fois en quelques mois que M. Chirac est entendu par un juge. Il a déjà été interrogé comme témoin assisté le 19 juillet à son bureau par le juge Alain Philibeaux dans l'affaire des emplois fictifs au profit du RPR.
Dans celle des chargés de mission, certains emplois rémunérés par la mairie de Paris étaient totalement fictifs, aux contours très imprécis ou sans rapport avec la mairie, selon les enquêteurs. Parmi les bénéficiaires présumés de ces emplois se trouve un ancien préfet, soupçonné d'avoir bénéficié d'un chauffeur payé par le cabinet du maire de Paris. Selon une source proche du dossier, il s'agit du seul contrat signé de la main de M. Chirac, lorsqu'il dirigeait la capitale.
Dans une tribune publiée dans Le Monde daté de jeudi, M. Chirac écrit avoir "souhaité ou autorisé", lorsqu'il était maire, les recrutements de chargés de mission car ils étaient "légitimes autant que nécessaires". Il ajoute qu'ils ont été autorisés par le conseil municipal de Paris. Il assure en outre que "jamais les moyens de la Ville de Paris n'ont été mis au service d'autres ambitions que d'agir pour les Parisiennes et Parisiens".
Dans ce dossier, vingt personnes sont soupçonnées d'avoir attribué des emplois de complaisance ou d'en avoir bénéficié au cours des années 1980 et 1990, du temps où Jacques Chirac (1977-1995) et Jean Tiberi (1995-2001) étaient maires de Paris.
Parmi eux, cinq ex-directeurs de cabinet de la mairie sont déjà mis en examen, notamment pour "détournement de fonds publics": Robert Pandraud (1983-1986), Daniel Naftalski (1986-1989), Michel Roussin (1989-1993), Rémy Chardon (1993-1995) et Bernard Bled (1995-1998). Cette affaire a également valu à Alain Juppé, ancien adjoint aux finances de la ville, d'être entendu comme témoin le 15 mai par les policiers à Nanterre.
Dans le cadre de ce dossier, la police financière a également été chargée d'une enquête sur Claude Chirac, la fille de M. Chirac, conseillère à la mairie de Paris de 1989 à 1993 et salariée d'une société privée.
L'affaire trouve son origine dans la plainte d'un contribuable parisien en 1998. En janvier 1999, une information judiciaire était ouverte pour "faux en écriture publique, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics et recel".
texte
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The inevitability of the perils of Hunism.
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